La Chocolaterie Puyricard aussi…

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Après La Confiserie du Roy René, c’est à une autre entreprise aixoise, les Chocolats de Puyricard de faire entrer des investisseurs pour se développer à l’international.

Le « CM-CIC craque ainsi pour les chocolats Puyricard », écrit par PAUL MOLGA des Echos. Notre ancien président du GEPA Tanguy Roelandts prend ainsi la main sur la majorité des parts grâce à l’aide de CM-CIC Capital Finance.

La fabrique artisanale aixoise produit depuis quarante-cinq ans 100 variétés de bonbons chocolatés. Après un premier LBO, le pdg rachète la majorité du capital avec l’aide de CM-CIC.

Une opération de LBO avait permis à l’actuel président de la chocolaterie Puyricard, Tanguy Roelandts, de racheter en 2002 la minorité de blocage de l’entreprise créée par ses parents. Avec l’aide de CM-CIC Capital Finance,le voilà maintenant seul maître à bord avec 51 % des parts du holding Puyricard Corporate, propriétaire à 95 % de l’entreprise. 5 % demeurent encore aux mains d’une de ses sœurs. « Cette stabilisation va permettre à la marque de pousser ses ambitions de croissance, notamment à l’international », explique Laurent Vasselin, directeur de participation.Classée comme une des principales chocolateries-confiseries artisanales de France, Puyricard produit depuis quarante-cinq ans, dans ses ateliers de la région aixoise précisément, 100 variétés de bonbons chocolatés et toute une quantité de tablettes, biscuits, pâtisseries, calissons, macarons et glaces. Au total, près de 160 tonnes de gourmandises, dont 120 de chocolats parmi les meilleurs crus provenant d’une vingtaine de pays. Les stars du showbiz et les politiques l’apprécient. « C’est un produit de luxe accessible à tous », insiste Tanguy Roelandts. Vendu 50 euros en moyenne, le ballotin figure en bonne place sous le sapin de Noël, une période de l’année où les effectifs quadruplent pour atteindre 450 employés. La majeure partie rejoint l’atelier aixois où officient 17 maîtres chocolatiers inscrits à la Chambre de métiers. Leur production faite main rejoint deux fois par semaine les 18 boutiques de la marque implantées dans le Sud et à Paris.

La suite sur le site web des Echos.

 
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